Découvrez les formations complètes intensives et accélérées de notre Institut de Formation en Hypnose et Sophrologie (IFHS) à Metz.
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La profession de relation d’aide nécessite de soumettre régulièrement sa pratique au regard de professionnels. La supervision est le meilleur moyen d’améliorer son travail et d’assurer la qualité de ses accompagnements thérapeutiques. Elle permet de ne pas se laisser enfermer dans de mauvaises habitudes et d’ouvrir son regard sur d’autres alternatives.
Les échanges avec le superviseur permettent aussi de clarifier certaines zones d’ombre ou de répondre à des questionnements survenus durant son parcours. Le professionnel supervisé se libère ainsi des doutes, gagne en confiance en lui et met, de cette façon, toutes les chances de son côté pour progresser dans sa pratique professionnelle.
De nombreux sophrologues et/ou hypnothérapeutes en activité proposent des supervisions. L’idéal est de choisir un professionnel exerçant depuis plusieurs années et qui a lui-même bénéficié d’une ou plusieurs supervisions. Il est à noter que les supervisions sont le plus souvent payantes puisqu’elles font partie des prestations proposées par des professionnels.
Parce que les professionnels de la relation d’aide répondent à des demandes très diverses allant de la recherche de bien-être, à la gestion des douleurs ou des phobies, ils doivent veiller à se tenir régulièrement informé. D’abord, parce qu’être bien informé permettra de réaliser des accompagnements plus adaptés, mais donnera également l’occasion de rediriger son client vers le bon professionnel lorsque cela s’y prêtera.
Les professionnels ont de nombreuses façons d’organiser une veille documentaire pour développer leurs connaissances.
Ils peuvent s’enrichir par le biais de lectures diverses ou réaliser une veille de l’information afin de se tenir au courant des avancées dans les domaines qui l’intéressent. Internet est également une source importante d’information, mais il faut toutefois toujours veiller à la qualité du contenu consulté et aux sources citées.
Les supports de communication :
Les supports de communication imprimés sont indispensables pour réaliser des actions de marketing direct. Une aide pour communiquer auprès de clients ou lors d’événements ponctuels comme des salons et rencontres professionnelles.
Cartes de visite, flyers, affiches
Ces supports de communication restent classiques, mais sont néanmoins très efficaces. Ils peuvent facilement être distribués lors de salons, de prestations en entreprises ou être placés dans la salle d’attente des professionnels qui acceptent cette démarche.
Aujourd’hui, communiquer sur le web est devenu incontournable et il semble difficile de pouvoir s’en passer, à moins de privilégier les contacts humains pour créer son réseau. Un particulier comme pour un professionnel, pourra ainsi réaliser une recherche sur un moteur de recherche ou un annuaire en ligne pour trouver un professionnel compétent à proximité de chez soi. Il est donc essentiel d’assurer sa présence en tant que sophrologue et hypnothérapeute sur les sites web.
Les annuaires en ligne sont une bonne façon de faire connaître l’activité professionnelle autour de son lieu d’exercice. Certains d’entre eux sont gratuits, mais d’autres, plus connus du grand public, facturent la présence des professionnels dans leur annuaire. Il s’agit donc de faire correspondre son besoin de visibilité avec son budget.
Les réseaux sociaux et professionnels sont un très bon moyen de faire connaître l’activité professionnelle mais il faut, pour cela, avoir une bonne maîtrise de ces outils. Ils sont gratuits mais nécessitent d’y consacrer du temps. Il faut également être sensibilisé à la manière de communiquer sur ces réseaux pour susciter l’intérêt des utilisateurs.
Les médias locaux pour se faire connaître sur son lieu d’implantation : certaines diffusions seront gratuites, comme lorsqu’un article vous est consacré, d’autres seront payantes et dans ce cas, il s’agira de diffusions à caractère publicitaire comme un spot radio ou encore une annonce dans un journal.
De nombreuses structures comme les mairies, les commerces ou encore les maisons de quartier proposent des tableaux d’affichage où il est possible à tout professionnel de déposer des informations concernant ses prestations. Ces supports augmentent la visibilité à proximité des cabinets.
Avec du temps, les professionnels, grâce à leurs compétences et à leur travail de qualité développeront leur activité en bénéficiant d’un bon « bouche à oreille ».
En tant qu’indépendant, le sophrologue et/ou l’hypnothérapeute va être amené à réaliser des démarches auprès de plusieurs organismes. Certains d’entre eux sont à contacter dès la création de son entreprise, d’autres sont simplement à connaître.
Pour déclarer son activité, le sophrologue et/ou l’hypnothérapeute doit réaliser quelques formalités. Il peut choisir de se rendre au Centre de Formalités des Entreprises (CFE) de son département ou de déclarer son activité sur internet. Cette démarche lui permet de recevoir, par la suite, son numéro d’immatriculation (INSEE) ainsi que son numéro de SIRET. De façon à simplifier la gestion administrative du créateur d’entreprise, le CFE se chargera également d’informer les organismes sociaux, comme le RSI, ou encore le centre des finances publiques.
En règle générale, les professionnels qui s’installent en profession libérale, effectuent leur enregistrement auprès du CFE qui dépend de l’URSSAF.
L’Institut National de la Statistique et des Études Économiques est un organisme public chargé de classifier les activités professionnelles françaises et de réaliser leur immatriculation. Chaque sophrologue et/ou hypnothérapeute qui crée une entreprise pourra choisir entre deux code APE en fonction l’activité principale qu’il exercera. Il se verra également attribué un numéro N° de SIREN unique qui lui sera très utile lors de la réalisation de ses démarches administratives.
Comme son nom l’indique, la Sécurité Sociale des Indépendants gère la sécurité sociale des travailleurs indépendants.
L’affiliation est faite de façon automatique lors de la création d’entreprise, et est effective dès la date de début de l’activité professionnelle. Le professionnel affilié reçoit, par la suite, une notification d’affiliation ainsi qu’une présentation de sa protection sociale et de ses interlocuteurs.
Une partie des cotisations du sophrologue et/ou de l’hypnothérapeute sera versée à la Sécurité Sociale des Indépendants pour assurer sa protection sociale.
L’Association Générale des Institutions de Retraite des Cadres (AGIRC) est un organisme chargé de gérer le régime de retraite complémentaire des cadres salariés (en plus de l’ARRCO). C’est cet organisme qui définit le montant des cotisations de retraite complémentaire ainsi que le montant des pensions de retraite complémentaire des cadres du privé.
L’affiliation à l’AGIRC est obligatoire pour toutes les entreprises (autoentrepreneur, EURL, …) et même si elles n’ont pas de cadre salarié. En revanche, une entreprise sans cadre salarié, ne paiera pas de cotisations.
L’Association pour le Régime de Retraite Complémentaire des salariés (ARRCO) est un organisme chargé de gérer le régime de retraite complémentaire de tous les salariés du secteur privé (cadres et non-cadres). C’est cet organisme qui définit le montant des cotisations de retraite complémentaire ainsi que le montant des pensions de retraite complémentaire des salariés du privé.
L’affiliation à l’ARRCO est obligatoire pour toutes les entreprises (autoentrepreneur, EURL, …) et même si elles n’ont pas de salarié. En revanche, une entreprise sans salarié, ne paiera pas de cotisations. Les sophrologues et/ou les hypnothérapeutes qui n’emploient pas de salariés sont donc affiliés à l’ARRCO mais ne paient pas de cotisations à l’ARRCO.
Les Directions Régionales de l’Économie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DREETS) contrôlent, conseillent et orientent les entreprises concernant notamment :
Pour exercer son métier en toute sérénité, il est nécessaire de veiller à la bonne couverture de son activité professionnelle. Cette couverture doit à la fois garantir les dommages causés à un tiers durant son activité professionnelle (assurance responsabilité civile) ainsi que la protection de son lieu d’exercice (assurance local professionnel), que la pratique se déroule en cabinet ou chez soi.
L’assurance responsabilité civile professionnelle (RCP) est indispensable pour couvrir les dommages matériels, immatériels ou corporels causés à des tiers (clients, fournisseurs, partenaires) dans l’exercice de ses fonctions.
L’assurance local professionnel garantit les biens et locaux du professionnel même lorsqu’il travaille à domicile. Elle permet d’exercer sereinement son activité, tout en étant protégé sur son lieu de pratique.
La médiation à la consommation n’est pas réellement une assurance, au sens juridique du terme, cependant elle permet d’éviter qu’un désaccord commercial avec un client ne s’envenime et se termine en litige juridique ou judiciaire. La liste des médiateurs est accessible dans les Tribunaux selon les départements.
Plus d’infos :
https://www.cdad-moselle.justice.fr/mediateurs/
https://www.moselle.gouv.fr › set › print › Professionnels
La protection juridique (PJ) est indispensable pour couvrir les frais liés aux litiges juridiques ou judiciaires avec des tiers (clients, fournisseurs, partenaires) dans l’exercice de son activité professionnelle.
Locaux professionnels
Lorsque l’on se sent prêt à se lancer comme sophrologue, se pose alors la question du lieu d’exercice de son activité. Domicile des particuliers, chez soi ou en cabinet, toutes les possibilités peuvent être envisagées à condition de respecter quelques règles essentielles
Cette loi définie des règles d’aménagement concernant les établissements recevant du public appelés ERP. Elle s’applique à tous les lieux et à toutes les professions. Les sophrologues et/ou hypnothérapeutes y sont donc soumis lorsqu’ils occupent un local professionnel.
Les différents statuts juridiques :
Les sophrologues et/ou les hypnothérapeutes qui souhaitent lancer leur activité professionnelle doivent, au préalable, choisir le statut juridique qui leur permettra d’exercer en toute légalité.
Le choix d’un statut juridique doit être fait en fonction du profil de l’entrepreneur et de sa situation personnelle. Toutefois, le changement de statut est toujours possible voire conseillé en cours d’activité si ce profil vient à changer.
Les différents statuts juridiques adaptés :
L’entreprise individuelle est le statut le plus répandu dans les petites activités professionnelles.
Il est le seul statut qui existe pour les entrepreneurs qui travaillent seuls (artisans, professions libérales, …) et qui ne souhaitent pas créer de société (SARL, EURL, …).
Ce statut présentait de nombreux inconvénients pour les créateurs d’entreprise avant l’option « autoentrepreneur ». Il est le statut idéal du sophrologue et/ou de l’hypnothérapeute avec les options qui lui correspondent.
L’entreprise et le dirigeant sont confondus juridiquement. L’entrepreneur facture ses prestations dont il déduit ses charges d’exploitation (loyers, …). Son « bénéfice » devient son salaire brut sur lequel il paie ses charges sociales. Comme son « bénéfice » n’est pas connu lors des deux premières années, il paie un petit forfait trimestriel qui sera ensuite ajusté au bout de deux ans. Ce principe facile à comprendre pour un entrepreneur aguerri a, en revanche, plongé de nombreux jeunes créateurs d’entreprise dans une situation financière difficile. L’option « autoentrepreneur » est venu corriger cette problématique.
L’autoentrepreneur est une option du statut juridique de l’Entreprise Individuelle.
Sa particularité réside dans la simplicité de sa création et de ses déclarations et au fait qu’il soit cumulable avec un autre statut (salarié, retraité, …).
Il est le statut le plus utilisé par les sophrologues aujourd’hui et c’est le statut que nous recommandons aux futurs professionnels qui créent leur entreprise.
Contrairement à l’Entreprise Individuelle simple, l’autoentrepreneur paye ses charges sociales et ses impôts sur ce qu’il facture (chiffre d’affaires) mensuellement ou trimestriellement. S’il ne facture rien, il ne paye rien. En revanche, les frais liés à son activité (loyer, téléphone, …) ne sont pas déductibles de son chiffre d’affaires. C’est le statut idéal pour lancer une activité avec peu de frais de fonctionnement.
EIRL (entreprise individuelle à responsabilité limitée) est une option de l’Entreprise Individuelle classique.
Elle est composée de certains aménagements réservés habituellement aux sociétés comme la protection du patrimoine privé et la possibilité d’être assujetti à l’impôt sur les sociétés.
Cette option peut se choisir après la création de l’activité par les entrepreneurs individuels dont les autoentrepreneurs font partie.
Elle fonctionne comme l’entreprise individuelle classique sauf que le dirigeant peut protéger son patrimoine personne en choisissant le patrimoine professionnel qu’il décide d’affecter à son activité et le dirigeant peut choisir d’assujettir son entreprise à l’impôt sur les sociétés si la fiscalité lui parait plus favorable que le fonctionnement de l’entreprise individuelle classique.
L’EURL (entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée) est une société à responsabilité limité (SARL) constituée d’un seul associé.
Elle est donc soumise aux mêmes règles qu’une SARL classique, exception faite toutefois des aménagements rendus nécessaires par la présence d’un unique associé.
L’entreprise et son dirigeant sont juridiquement et fiscalement distincts. La société est alors appelée « personne morale » et elle doit publier un bilan comptable de fin d’année. Le dirigeant appelé le gérant, peut choisir d’être salarié de sa société ou bien d’attendre le bilan de fin d’année afin de se distribuer des dividendes sur les bénéfices de la société (dans le cas où il est l’associé unique et sur option à l’IS). Les frais d’exploitation (loyer, …) sont déductibles du chiffre d’affaires de la société.
Le portage salarial consiste à faire « porter » l’activité commerciale d’un « entrepreneur » par une société commerciale.
Cet entrepreneur devient alors salarié de la société qui le porte.
Ce système permet à un « entrepreneur » de conserver son statut de salarié et de déléguer la gestion administrative de son activité à une société de portage.
Le « porté » développe son activité auprès de ses clients mais les factures au nom de la société de portage. C’est également la société de portage qui encaisse les règlements des clients. Ensuite, le « porté » est salarié par la société de portage, à la hauteur de ce qu’il a vendu à ses clients, moyennant une commission allant de 5% à 17 %.
> Le porté verse une commission sur ses ventes à la société de portage
> Le porté paye les charges patronales et salariales sur ses ventes
La coopérative est une association de personnes réunies pour satisfaire leurs besoins économiques communs au moyen d’une entreprise dont la propriété est collective et où le pouvoir est exercé démocratiquement.
Le coopérateur est donc « associé » et salarié de la coopérative. Dans les faits, le coopérateur à un statut de salarié.
La coopérative dispose généralement de moyens (locaux, matériels, secrétaire,…) qui permettent à de jeunes entrepreneurs de se lancer à moindre coût.
Le coopérateur développe son activité auprès de ses clients mais les factures au nom de la coopérative. C’est également la coopérative qui encaisse les règlements des clients. Ensuite, le coopérateur est salarié par la coopérative, à hauteur de ce qu’il a vendu à ses clients, moyennant une commission retenue par la coopérative.
Une association est un groupement de personnes qui sans poursuivre de but économique, se consacrent à atteindre l’objectif de cette association (sportive, culturelle, sociale, …).
Les associations sont régies par la loi de 1901 et présentent une gestion simple et peu onéreuse puisqu’elles échappent à la majorité des taxes.
L’association accueille des membres ou des adhérents moyennant une cotisation annuelle. Elle peut vendre des produits ou des services à ses membres ou à des tiers et faire des bénéfices. En revanche, ces bénéfices ne peuvent être distribués à ses membres ou à ses dirigeants. Ils doivent servir à l’objet de l’association.
Le métier de sophrologue et/ou d’hypnothérapeute impose aux professionnels en exercice de tenir une ligne de conduite très précise. C’est ce que l’on appelle la posture thérapeutique. Cette posture professionnelle dicte de quelle façon le professionnel doit se positionner face aux personnes qui font appel à ses services (clients, prospects ou prestataires).
Plus particulièrement, elle lui indique quelle attitude adopter en séance ainsi que les limites à ne pas franchir pour respecter le cadre d’exercice du métier. Le sophrologueet/ou l’hypnothérapeute devra notamment faire preuve de tolérance, de respect, de patience, ou encore conserver une distance physique non-intrusive. Le professionnel de la relation d’aide sera également amené à se questionner régulièrement sur sa pratique, à faire preuve d’humilité et à se détacher du désir de contrôle quant à l’évolution des personnes qu’il accompagne.
Le professionnel en sophrologie et/ou en hypnose se doit également de respecter des règles morales et éthiques propres à sa profession : le code de déontologie. Le code de déontologie définit ces règles essentielles, telles que le respect de la confidentialité et de la législation en vigueur, l’impossibilité de réaliser des prescriptions ou diagnostics ou encore l’obligation d’entretenir des relations confraternelles avec les autres sophrologues et/ou hypnothérapeutes.
L’Union européenne fixe dans son règlement de 2016 des règles pour encadrer le traitement des données des personnes physiques afin de les protéger.
En terme d’éthique, le sophrologue et/ou l’hypnothérapeute indépendant se voit donc dans l’obligation de respecter ce règlement.
Lien RGPD : https://www.economie.gouv.fr/entreprises/reglement-general-sur-protection-des-donnees-rgpd
Les sophrologues et/ou les hypnothérapeutes peuvent intégrer à leur activité des pratiques plus éthiques et durables pour contribuer à l’amélioration de la société et à la protection de l’environnement
Lien RSE : https://www.economie.gouv.fr/entreprises/responsabilite-societale-entreprises-rse
Pour la sophrologie :
En 2012, l’INSEE a procédé à l’ajout du métier de sophrologue dans sa nomenclature. Cette dernière répertorie la nature des activités des entreprises françaises. Cet ajout confirme que le métier de sophrologue fait partie intégrante de la réalité économique du pays.
Depuis, deux codes APE (ou NAF) (Activité principale exercée) permettent de répertorier le métier de sophrologue. Le premier permet de classer les activités professionnelles à ambition thérapeutique (8690F) et le second celles plus orientées bien-être (9609Z).
Pour l’hypnose :
Idem : deux codes APE (ou NAF) permettent de répertorier le métier de «praticien en hypnose» ou l’«hypnothérapeute» .
Depuis, deux codes APE (ou NAF) (Activité principale exercée) permettent de répertorier le métier de sophrologue. Le premier permet de classer les activités professionnelles à ambition thérapeutique (8690F) et le second celles plus orientées bien-être (9609Z).
Pôle emploi a fait apparaître le métier de sophrologue et d’hypnothérapeute dans une nouvelle fiche enregistrée au Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois (ROME).
Cet ajout a permis au métier d’être doté d’un code ROME : le K1103 et d’être reconnu par cette institution officielle comme profession de développement personnel et de bien être à la personne.
Lien du code ROME : https://rome.services-publics.lu/pdf/modified/K1103_SOBE.pdf
Hypnose : Lien du portail de l’auto-entrepreneur : https://www.portailautoentrepreneur.fr/academie/fiches-metiers/sante-bien-etre/hypnotiseur
Sophrologie : Lien du portail de l’auto-entrepreneur : sophrologie
https://pole-autoentrepreneur.com/liste-code-ape/activite/sophrologue/
Le praticien en sophrologie et/ou en hypnose peut pratiquer son métier dans des lieux et contextes très divers. En plus du cadre classique d’exercice (cabinet, domicile), de nombreuses structures font appel aux services de professionnels et il peut être régulièrement amené à se déplacer pour réaliser ses prestations.
Le cabinet de sophrologie et ou d’hypnose est sans doute le lieu d’exercice le plus répandu. Il permet de recevoir sa clientèle sur place, en séances individuelles, mais aussi en cours collectifs si l’espace le permet. L’avantage de ce lieu d’exercice est qu’il permet au sophrologue et/ou à l’hypnothérapeute de s’implanter dans un secteur géographique précis et de gérer ses rendez-vous sans avoir à se déplacer.
Le praticien peut également intervenir au domicile des particuliers lorsqu’il ne dispose pas de local professionnel ou lorsque ses clients ne peuvent ou ne souhaitent pas se déplacer jusqu’à son cabinet. Ce mode d’intervention ne nécessite pas d’organisation particulière pour le client, mais demande au professionnel de disposer d’un moyen de transport et de bien estimer son temps de trajet entre chaque rendez-vous.
Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à solliciter les sophrologues et/ou les hypnothérapeutes pour favoriser le bien-être au travail ou la cohésion de groupe. Les séances se déroulent généralement dans les locaux de l’entreprise qui prévoit un espace suffisamment grand et calme pour que les salariés puissent profiter des séances collectives ou des ateliers dans les meilleures conditions.
Les structures médicales reçoivent les sophrologues et/ou les hypnothérapeutes pour accompagner différents types de problématiques liées à la santé et au bien-être des patients. C’est le cas des hôpitaux, des centres anti douleur, des maisons de retraite, des services de périnatalité, d’oncologie ou d’addictologie. Dans ce cadre, le sophrologue et/ou l’hypnothérapeute est très souvent amené à travailler en équipe pluridisciplinaire.
Le sophrologue et/ou l’hypnothérapeute peut également intervenir dans les centres de bien-être et de thalasso pour compléter l’offre de prestation de ces établissements. La clientèle présente dans ces structures est, en général, à la recherche de méthodes favorisant le relâchement du corps et du mental. C’est pourquoi, l’intervenant proposera des séances axées principalement sur la détente et la relaxation.
Les établissements scolaires, de la maternelle jusqu’à l’enseignement supérieur, proposent la sophrologie à leurs élèves pour aborder sereinement leur environnement, leurs études ou leurs examens. Le sophrologue choisira des thématiques comme la gestion du stress, le retour au calme ou l’amélioration de la concentration. Ces séances peuvent aussi être proposées aux enseignants pour les aider à gérer la pression ou encore la fatigue.
La sophrologie et/ou l’hypnose est particulièrement prisée des sportifs professionnels et amateurs, car elle leur permet de se préparer mentalement aux futures compétitions sportives. C’est pourquoi de nombreux clubs, toutes disciplines confondues, font appel aux services à des professionnels de la relation d’aide pour aider leurs sportifs à accroître leur potentiel ainsi que pour favoriser leur récupération physique après les compétitions ou les entraînements.
Les maisons de quartiers et les associations sont également des lieux où les sophrologues et/ou les hypnothérapeutes peuvent intervenir, soit à titre bénévole, soit en étant rémunérés lors de séances de groupe par exemple. Ce mode d’intervention permet au public concerné de découvrir la méthode à moindre coût et au professionnel de se faire connaître dans une zone géographique ciblée, tout en développant ses champs de compétence